Fardoise nous propose son thème
Son blog à visiter
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J'ai choisi ces deux tableaux
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De Claude Monet
Madame Monet et son fils
À croire que Monet n'avait d'yeux que pour elle
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Celui-ci pour la tendresse d'une mère à son enfant
En 1786, Elisabeth Vigée Le Brun réalise un autoportrait avec sa fille, exposé au Salon de 1787. Le tableau touche à ce point le public par la véracité des sentiments représentés qu'il est rapidement surnommé « La Tendresse maternelle ». Dans le sillage de ce succès et à la demande du comte d'Angiviller, directeur général des Bâtiments du Roi, l'artiste peint en 1789 une variante en costume grec tout aussi réputée.
Si ces deux portraits ont frappé en leur temps, c'est qu'ils cristallisent le changement qui s'opère alors dans les mentalités concernant la place de la mère et la conception de l'amour maternel. Depuis le milieu du siècle s'observe un engouement global pour tout ce qui touche la « Nature » : développement sans précédent des sciences naturelles, intérêt pour la vie des populations « sauvages » découvertes lors des voyages d'exploration du globe, questionnement des concepts de société et d'éducation par un philosophe comme Rousseau : ainsi dans l’Emile, il place l'expérience sensible de l'enfant au cœur de sa réflexion. L'expressivité de sentiments que l'on s'évertuait jusqu'alors à cacher entre dans ce mouvement général. En société, en art comme en littérature, l'émotion, notamment sous sa forme larmoyante, occupe une place majeure.
Cette construction très culturelle de la Nature a des conséquences sur la perception du sentiment maternel, désormais considéré comme « instinctif ». La mère et l'amour qui l'attache à son enfant sont glorifiés par la société, et l'on voit apparaître la valorisation de nouvelles pratiques « naturelles » comme l'allaitement, à rebours de celle, encore très courante, du placement en nourrice des enfants des familles aristocratiques et bourgeoises. Cette évolution atteint jusqu'au sommet de la société, puisque la reine elle-même, Marie-Antoinette, revendiquait en privé une proximité quotidienne avec ses enfants que l'étiquette de la cour contredisait en théorie.
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Aujourd'hui je partage QQ photos de ma fille
Pour l'ascension en vadrouille
Halte à Nancy
Basilique Saint-Epvre
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Beffroi de Thionville
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Au Luxembourg
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Abbaye de Clervaux
L’abbaye Saint-Maurice-et-Saint-Maur ou abbaye de Clervaux est une abbaye bénédictine sise à Clervaux, dans le grand-duché de Luxembourg. Abritant une douzaine de moines de différents pays, elle a été fondée en 1909 faisant partie de la congrégation de Solesmes et attachée à la confédération bénédictine
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Sarrebourg
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Un p'tit tour à Bastogne
Bonne fin de semaine