Dans mes vallées d'Auvergne, l'air est pur
Là où la montagne parle je murmure
Les champs s'étendent, vastes et secrets
Sous un ciel qui les caresse, sans jamais de regret.
Les gens d’ici ont le cœur franc
Le sourire sincère, mais un peu distant
Ils parlent vrai, sans fioritures
Avec l’âme robuste, tout en bravoure.
Dans chaque pierre, un souvenir gravé
Dans chaque ruelle, un pas de vérité.
Ici, pas de faux-semblants, juste de la simplicité
Le cœur lourd, mais l’esprit léger.
Mes volcans, mes ruisseaux, tout me chuchote un doux refrain
De cette terre qui, comme l’âme, ne craint
Ni les tempêtes, ni le froid glacial
Je vous le dis
Mon Auvergne
Elle se fait grande, mais reste locale.
Alors, à l’unisson, ces voix s’élèvent
D'Issoire ils étaient venus à Blanzat
Dans ce groupe de cœur, une entité sans trêve
Sous les cieux d’Auvergne, unissant leurs mots
Leur sabots retentissant
Comme la terre, d’un geste chaud.
C'était samedi après midi